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Fondé en 1898, Renault Group est un acteur majeur de l’industrie automobile mondiale, présents dans plus de 130 pays. Le groupe est positionné sur les segments des véhicules particuliers, utilitaires et services de mobilité. Il réunit les marques Renault, Dacia et Alpine, et s’appuie sur son alliance stratégique avec Nissan et Mitsubishi Motors, l’une des coopérations les plus influentes du secteur. Renault accélère son développement dans les véhicules électriques, les technologies embarquées et les software-defined vehicles via Ampere, sa filiale dédiée au VE et au software
Fondé en 1898, Renault Group est un acteur majeur de l’industrie automobile mondiale, présents dans plus de 130 pays. Le groupe est positionné sur les segments des véhicules particuliers, utilitaires et services de mobilité. Il réunit les marques Renault, Dacia et Alpine, et s’appuie sur son alliance stratégique avec Nissan et Mitsubishi Motors, l’une des coopérations les plus influentes du secteur. Renault accélère son développement dans les véhicules électriques, les technologies embarquées et les software-defined vehicles via Ampere, sa filiale dédiée au VE et au software
Renault explore actuellement une collaboration avec un fournisseur chinois pour développer une nouvelle génération de moteurs électriques à base de cuivre, évitant les métaux rares. Cette initiative intervient après l'arrêt de son projet avec Valeo et s'inscrit dans un contexte de restrictions croissantes des exportations chinoises de métaux critiques. Malgré une performance boursière mitigée cette année, l'action Renault a repris environ 6 % sur la dernière semaine, soutenue par ses bons rendements à moyen terme. Ce repositionnement technologique pourrait renforcer sa compétitivité dans le secteur des véhicules électriques et influencer positivement son cours en Bourse à moyen terme.
Renault est un acteur historique de l’automobile mondiale, structuré autour d’un portefeuille large comprenant les marques Renault, Dacia et Alpine. L’entreprise se différencie par son alliance stratégique avec Nissan et Mitsubishi, un levier important pour sa compétitivité, et accélère sa transition vers la mobilité électrique et les véhicules connectés via sa filiale Ampere.
Le momentum actuel est en net recul, reflétant les défis temporaires dans la transition industrielle et les conditions de marché difficiles. La tendance invite à une vigilance renforcée, bien que le repositionnement stratégique sur l’électrique puisse soutenir un rebond à moyen terme.
Renault a confirmé que sa prochaine Assemblée Générale se tiendra le 30 avril 2026, date à valider par le conseil d'administration en février. Par ailleurs, le groupe renforce son engagement dans l'innovation technologique avec un accord de développement conjoint entre sa filiale Ampere et Stratus Materials pour tester une technologie de cathode sans cobalt, essentielle pour ses futurs véhicules électriques. En parallèle, sa filiale RCI Banque a émis un emprunt obligataire de 750 millions d'euros à taux fixe, confirmant une bonne capacité d'accès aux marchés. Ces annonces montrent un positionnement stratégique sur la transition électrique et une bonne gestion financière, ce qui pourrait soutenir la confiance des investisseurs.
Renault doit procéder au rappel de 156 000 voitures équipées de moteurs hybrides 1.6 E-Tech en raison d'un problème d'étanchéité d'un joint identifié depuis l'an dernier. Cette opération, qui débutera en septembre, pourrait affecter momentanément la confiance des clients mais ne devrait pas avoir d'impact durable sur la performance financière du groupe. La réaction du marché reste stable malgré cette annonce.
L'article du 21 juillet souligne que l'action Renault, malgré une récente baisse marquée, présente désormais un potentiel d'appréciation intéressant. Le recul subi ces dernières semaines pourrait offrir une opportunité d'entrée, même si certains analystes recommandent d'attendre un éventuel repli supplémentaire. Cette perspective positive justifie un avis d'achat prudent.
Suite à un profit warning lié à des volumes de vente plus faibles que prévu, Renault a fortement abaissé ses prévisions pour l'exercice 2025, ce qui a provoqué une chute significative de son action de plus de 17%. Cette réaction traduit une déception marquée des investisseurs face à un contexte opérationnel plus difficile que l'an dernier, où le groupe affichait une meilleure résistance. Le recul actuel doit être considéré dans cette perspective de révision à la baisse des objectifs financiers.