ArcelorMittal a annoncé des suppressions de postes dans plusieurs de ses sites en France. Malgré le carnet de commandes qualifié de satisfaisant, ces licenciements soulèvent des inquiétudes parmi les représentants syndicaux. Cette situation pourrait générer une certaine tension au sein de l'entreprise et potentiellement impacter négativement l'image et la stabilité de l'action MT.

Bien que ArcelorMittal envisage la délocalisation d'emplois vers l'Inde, une étude récente révèle des faiblesses significatives dans ce projet, académiquement parlant. On découvre que cette démarche risque de fragiliser ses activités en Europe tout en étant un « tremplin logistique et organisationnel » probablement insuffisant. Cette révélation pourrait donc nuancer l'orientation stratégique future d'ArcelorMittal et impacte négativement sa réputation sur les marchés.

Bruno Le Maire, ancien ministre de l'Économie, a récemment plaidé pour des mesures extrêmes afin de sauver le site d’ArcelorMittal à Dunkerque, y compris une nationalisation temporaire si nécessaire. Cette intervention souligne l'importance du site pour l'économie locale et pourrait signaler un soutien gouvernemental fort, éventuellement stabilisant la situation de l'entreprise dans des temps incertains. Toutefois, les implications à long terme de telles mesures sur la confiance des investisseurs demeurent incertaines.