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TotalEnergies fondé en 1924, est un groupe énergétique intégré présent dans plus de 130 pays, actif dans le pétrole, le gaz, l’électricité et les énergies renouvelables. TotalEnergies évolue aux côtés d’acteurs majeurs tels que Shell, BP, ExxonMobil, Chevron et Equinor. Le groupe développe des projets à grande échelle dans le solaire, l’éolien, l’hydrogène, le biogaz, le GNL et la mobilité bas carbone, soutenus par des plateformes industrielles et digitales avancées. Sa présence mondiale repose sur un réseau d’infrastructures, de production et de distribution couvrant l’ensemble de la chaîne de valeur énergétique.
TotalEnergies fondé en 1924, est un groupe énergétique intégré présent dans plus de 130 pays, actif dans le pétrole, le gaz, l’électricité et les énergies renouvelables. TotalEnergies évolue aux côtés d’acteurs majeurs tels que Shell, BP, ExxonMobil, Chevron et Equinor. Le groupe développe des projets à grande échelle dans le solaire, l’éolien, l’hydrogène, le biogaz, le GNL et la mobilité bas carbone, soutenus par des plateformes industrielles et digitales avancées. Sa présence mondiale repose sur un réseau d’infrastructures, de production et de distribution couvrant l’ensemble de la chaîne de valeur énergétique.
Communauté Anantys
4 membres détiennent TOTALENERGIES et réalisent une performance moyenne de 6.2%. Rejoignez-les pour suivre les signaux et structurer votre stratégie d'investissement long terme.
Détenu par
4 membres
Watchlists
3
Perf moyenne
6.2%
Capital moyen
3K EUR
Le 9 décembre 2025, TotalEnergies a conclu un accord avec le portugais Galp pour exploiter conjointement le gisement pétrolier de Mopane au large de la Namibie, estimé à au moins 10 milliards de barils. Cette opération place le groupe en bonne position dans une région jusque-là assez peu exploitée pour les hydrocarbures, suscitant un réel espoir en matière de croissance des réserves. La stabilité relative du titre traduit probablement la prudence des marchés face à l'attente des développements futurs.
TotalEnergies capitalise sur son modèle intégré combinant pétrole, gaz et énergies renouvelables à l’échelle mondiale. Sa capacité à développer des projets diversifiés dans le solaire, l’éolien, l’hydrogène et le biogaz lui permet de s’adapter à la transition énergétique tout en conservant une position solide dans les hydrocarbures.
Le momentum est positif et reflète une dynamique d’adaptation réussie aux défis énergétiques actuels. Cette tendance soutenue suggère un intérêt croissant des investisseurs pour les valeurs combinant croissance verte et solidité sectorielle.
Le PDG Patrick Pouyanné a alerté sur le risque de délocalisation des investissements si la surtaxe sur les bénéfices, augmentant la pression fiscale à 35% en France contre 25% à l'étranger, est maintenue pour une deuxième année. Cette prise de position souligne les tensions fiscales actuelles sans provoquer de réaction marquée sur le titre, qui reste stable malgré ce contexte. La crainte exprimée par la direction reflète une sensibilité accrue aux décisions budgétaires nationales pouvant impacter la compétitivité.
Le consortium formé par TotalEnergies et Aljomaih Energy & Water a remporté un appel d'offres saoudien pour développer une centrale solaire de 400 MW à As Sufun. Cette opportunité souligne l'engagement de TotalEnergies dans les énergies renouvelables et son positionnement stratégique au Moyen-Orient. La baisse de -1,88 % sur la journée semble refléter une réaction de marché neutre, sans remettre en cause ce succès.
Le résultat net ajusté de TotalEnergies pour le troisième trimestre 2025 a enregistré un recul modéré de 2,4%, impacté principalement par la baisse des prix du pétrole. Toutefois, l'EBITDA ajusté progresse de 3%, témoignant d'une gestion opérationnelle solide malgré le contexte défavorable. Cette publication, révélée fin octobre, semble donc recevoir une réaction neutre sur le marché, en ligne avec la baisse journalière modérée de l'action.
TotalEnergies demande au gouvernement mozambicain une extension de dix ans pour la concession de son projet gazier suspendu depuis quatre ans suite à des attaques jihadistes. Cette requête s'accompagne d'une demande de compensation de 4,5 milliards de dollars pour surcoûts liés à ce contexte sécuritaire. Cette initiative reflète la volonté du groupe de sécuriser ses investissements mais n'a pas provoqué de réaction majeure sur le cours de l'action.